On saute à cloche-pied d’une frontière à l’autre, « coucou nous revoilou l’Espagne! » C’est à Barbantes (un pseudonyme, pour qu’on ne s’y arrête pas), que, par esprit contradictoire, nous nous sommes arrêtés. C’est une petite ville thermale où l’on trempe dans des eaux sulfureuses qui vous font une belle peau et une mauvaise odeur… Il faut soufrer pour être beau…!
Petite escapade « motocyclétienne »à Eiras à proximité de Barbantes où je découvre une sorte de château (grosse bâtisse avec des tours) et des séchoirs à grains très originaux…
Un petit comparatif signalétique entre la France et le Portugal s’est révélé comme judicieux quand m’est apparu un panneau, à l’entrée d’un village, perdu dans la campagne…
salut, à méditer surement…merci pour ces nouveaux clichés accompagnés par les jeux de mots.Bonne route